Remoulins, suite et fin !

Afin de répondre à l’attente insoutenable de ses lecteurs, Vincent Grangé heu non Grivotte nous narre la suite des exploits du RFC…

Départ donc pour la soirée neige et Tapas (je sais pas si les esquimaux mangent beaucoup de Tapas, mais bon). Petit crochet pour récupérer Batiste, déguisé en bonhomme de neige intégral pour l’occasion. Un retour aux sources pour les anciens, puisque la fiesta a lieu au même endroit que l’année dernière, Une découverte pour Eric et Willy qui vont devoir reprendre le flambeau de « David Le conquérant » (inarrêtable sur la chanson d’Aline… ca lui rappelle sa jeunesse) et de « Jimmy  le concasseur de fin de soirée ».

Madame Tapas absente, c’est dans une détresse infinie que « Vincent  Le grand » (j’ai envie de donner des p’tits surnoms, comme ca pour m’amuser…) se rua vers le bar, et s’est dans un splendide élan de solidarité que l’ensemble de l’équipe le rejoignit pour l’aider à noyer ce chagrin dans le Rhum.

Après quelques tournées, c’est Willy, le premier qui se déhancha sur la piste avec une banane qui faisait plaisir à voir. Après, tout s’enchaine : Micka se met à danser un charleston engagé sur une musique que s’est pas du Charleston, mais y s’en fout Micka, il danse !… où ca se gate c’est quand Willy essaye de l’imiter… Voyant que le ridicule ne tue pas, je me lance à mon tour dans une dance « stylée année 80 » sur « partenaire particulier ». « Antho la coquine » et « Gillou  la salope » ne sont pas en reste et aiment dancer en face à face en se regardant dans les yeux et en se caressant le torse… Bref, c’est un RFC « chaud bouillant » qui fait littéralement fondre la banquise et les Pingouines locales…  C’est au final « Willy la banane » qui aura le plus chauffé la piste par ses jeux de jambes endiablés (si ca pouvait en être de même pendant les matchs…)  façon « Happy feet ». « Eric le boiteux » a bien essayé de suivre courageusement notre Willy, mais un mauvais coup pendant le tournoi l’avait quelque peu diminué (même si après la 5^ème tournée, il y pensait beaucoup moins à son bobo, hein). C’est une équipe du RFC « heureuse » de sa soirée qui rentre au gite après près de 5 heures de punch et de déhanché !

Dimanche matin, Eric regrette déjà d’avoir dansé sur sa patte folle. J’ai rarement vu quelqu’un faire de telles grimaces de douleur, à croire qu’il en rajoute un peu, mais bon, c’est Eric… On quitte le gite dans la matinée, visite express du Pont du Gard et direction Avignon, sur les terres de Gilou. Visite commentée de la citée des Papes, puis un bon petit resto (classe et pas cher), et tous en voiture direction Romorantin.  Ah oui, juste avant de monter dans la voiture, j’ai trouvé le moyen de marcher dans une grosse merde de chien. Résultat, si l’année dernière au retour David avait quelque peu pourri l’habitacle par ses flatulences mal contrôlées, j’avoue que cette année c’est un peu de ma faute si on a voyagé avec une odeur de merde chien dans las narines.

Merci à « Micka le ténébreux charlestonien » pour l’organisation de ce week-end réussi, et réservez vos dates pour l’année prochaine !